Perry Rhodan T42 - L'Arche des aïeux
La salle était non seulement crépusculaire, mais encore plongée dans un silence absolu. Les bruits divers de l'immense navire étaient ici totalement absents. L'air était bon à respirer, mais glacial. Rivés au mur, des tableaux de commande signalaient la présence d'installations inconnues.
Le regard du psychologue tomba sur les deux longues rangées de blocs translucides. Le liquide qui les emplissait devait être d'une densité considérable puisque les corps y flottaient en surface et ne s'enfonçaient que peu, comme aurait fait un bout de bois sur du mercure.