Une larme du diable
Ces trois pauvres petites vertus théologales ne sont réellement pas de force à lutter contre sept gros gaillards de péchés capitaux !” voici comme Satanas, l’un des personnages principaux de cette comédie en dix-sept scènes résume la lutte du Bien contre le Mal. On connaissait déjà le Théophile Gautier de La Morte amoureuse, l’auteur infatigable de nouvelles fantastiques... on connait moins bien l’auteur de théâtre, humoristique, subversif et peu catholique. Dans Une larme du diable, Satanas se rend dans une église en compagnie de Blancheflor... Une variante drôle et intelligente sur les amours malheureuses du diable, après Cazotte.