La Sainte Vehme
Prisonnier des Russes, en Ukraine, le baron Ulrich du Glénic revient chez lui, à Ilsenburg, au château gouverné pendant son absence par sa cousine Alda. Il est accompagné par une ravissante jeune femme, dona Flor Vasquez, qui l'a aidé à quitter le camp de Goroditch.
Tout à l’allégresse de sa liberté reconquise, insoucieux du prix qu'il aura à la payer, amoureux fou de Flor, Ulrich ne s'inquiète de rien, ne voit rien, même pas qu'Alda, qu'il a aimée, arbore ces fleurs blanches et noires dites anémones des sorcières qui sont l’emblème de la Sainte Vehme, la terrible société secrète qui élimine impitoyablement les Allemands qui collaborent avec les vainqueurs.
Nous retrouvons dans ce roman toute l'atmosphère dépaysante et mystérieuse des grands livre de Pierre Benoit, "Koenigsmark", "L'Atlantide", "La Châtelaine du Liban"...