Journal 1966-1972 : Ce qui reste de jour
Certains aiment la vie, je préfère la lecture."
Quand Julien Green reprend cette formule de Logan Pearson Smith, il le fait en conscience. Ces termes traduisent l'attention que Green accorde à l'écriture tel qu'il le rapporte dans son journal.
Robert de Saint Jean écrit du journal de Green "Allons trouver Green dans son bureau...Que voyons nous ? Un homme qui lit."
Selon lui, le journal permet de dresser "un portrait de l'auteur en lecteur."
L'auteur comptabilisera ses lectures en 1987 et atteindra le nombre de 13 000 volumes lus.