Jean qui grogne et Jean qui rit
François Mitterrand, le pape, une île grecque, Romain Gary, la rue Copernic, Édith Piaf, les communistes, l'amour, la Toscane, le bonheur...
Voici un aide-mémoire, ou plutôt un spectacle de notre univers, plein de passion et d'intelligence. Ces chroniques sont les instants de vie, de portraits, des attaques, des coups de cœur.
Certaines vous étreignent un peu, d'autres sont la gaieté même. Car depuis trente ans, avec allégresse et gravité, Jean d'Ormesson regarde le monde et les hommes et les femmes qui nous entourent.
Prenez parti ! dit-il, et trompez-vous sans trop de bassesse. Ceux qui ne défendent que leurs amis sont aveugles. Il faut se débrouiller dans ce labyrinthe.
C'est ce qu'on appelle l'honneur des hommes. Cet écrivain, qui est aussi un journaliste, a décroché une tenue dans le stock des équipements disponibles au bazar de l'époque : il est démocrate, il est libéral et il aime la vie.