Félicité
Un an avant sa mort, Katherine Mansfield écrit dans son journal qu'elle aurait voulu être aussi " limpide que le cristal pour que le inonde puisse briller à travers elle". C'est cette limpidité que nous retrouvons dans ses nouvelles. À l'instar de Guy de Maupassant ou d'Anion Tel.
Elle révèle le monde en le décrivant dans moindres détails qui, sous une apparence anodine, laissent éclater une tension trop longtemps contenue