Un sacré gueuleton
» Quand la vie décide de m’accabler, je sais que je peux faire confiance à un Bandol, à quelques gousses d’ail et à Mozart « .
» Il me semble que si le christianisme offrait un grand verre d’un eÎllent vin français à la communion, les églises seraient des lieux autrement plus joyeux, et partant, plus spirituels. »
» Si l’on devait m’apprendre que j’allais bientôt passer l’arme à gauche, j’ai souvent pensé que je rejoindrais Lyon pour y manger comme quatre durant un bon mois, après quoi on pourrait me jeter d’une civière dans le Rhône bien-aimé. Peut-être y nagerais-je au fil du courant jusqu’à Arles pour y savourer mon dernier dîner.