Sainte Zélie de la palud
Le portrait haut en couleur de Paolig – et de sa mère Zélie, poissonnière ambulante – et le récit de son irrésistible ascension dans le monde des mareyeurs bretons.
On l’appelait Paolig dans son enfance, Paulo pendant ses années de chien, puis un beau jour
il fut sacré le Grand Paulo, l’un des plus gros mareyeurs du pays bigouden. Un grand seigneur
charismatique, pour qui la fière Marie-Morgane décida le jour de ses noces de tout plaquer :
son futur mari et sa famille, et qu’importe le scandale. Ils ont su, au premier regard, qu’amour
et réussite feraient bon ménage. Depuis toujours, ce sont les femmes qui ont soutenu et aimé Paul Draoulec. A commencer par sa mère, l’inénarrable Zélie, qu’il accompagnait, enfant, dans ses doubles tournées, de poissonnière ambulante et de buveuse invétérée. C’était au
début des années 1930, sur les chemins de la palud de Penmarc’h. Il revient de si loin, le Grand Paulo…
Le roman vrai, bouleversant, d’un amour filial.