Rien d'autre que cette félicité
Atteinte d'un mal incurable, Ariane écrit à sa fille une longue lettre où elle s'ouvre corps et âme, brossant l'esquisse d'une femme «hyperimparfaite comme toutes les femmes», d'une mère aimante et chiante qui ne sera pas là pour voir son Elyria vieillir, enfanter, jouir de la vie et la détester, et surtout pour entendre son rire, son rire si lumineux.
Il y a des fictions qui sont des morceaux de chair vive...