Le vin de la violence
Un mur monumental.
A l'intérieur de son enceinte, une humanité qui a fait de la non-violence une religion : les Quetzaliens. A l'extérieur, une humanité dégénérée qui pratique le cannibalisme à vue : les Mangeurs de cerveau.
Au pied du mur, le baignant sur toute sa longueur, une sorte d'égout où vont se jeter, mystérieusement transformées en un liquide corrosif, les pulsions agressives des Quetzaliens : la rivière de haine.
Pour Francis Lostwax et ses compagnons du Darwin, c'est la douche écossaise : ils tâtent successivement de la barbarie et de l'utopie.
Une utopie qui a de quoi les séduire mais leur enlève tout espoir d'une aide quelconque pour affronter les hordes sauvages qui les séparent de leur vaisseau spatial.
A moins qu'il ne soit possible de rapprendre la violence aux adorateurs de la paix...