Le Privilège des rêveurs
« Nos vies sont la somme des histoires que nous nous racontons. »
Cab rêve de gloire. Salomé rêve d'amour. Judith rêve de liberté. Que devront-ils perdre pour réaliser leur rêve ?
« Stéphanie Janicot s'invite parmi les auteurs qui comptent. » Esprit femme.
« Un beau roman sur nos vies rêvées et nos rêves de vie. » Alexie Lorca, Atmosphères.
« Un roman qui vous intrigue et vous hante longtemps. Lumineux. » Emmanuelle de Boysson, Marie Claire.
« Un livre fort et dépaysant aux personnages attachants qui restent longtemps avec le lecteur. » Tatiana de Rosnay, Psychologies.
« Un superbe roman sur les fils du destin et l'étrangeté des sentiments. » Notre Temps.
« Un roman élégamment construit qui porte en lui une sorte de mélancolie. Part belle à la tendresse, à l'humour... une façon légère de dire les choses graves. » Muze.
« Elle renouvelle avec sensibilité les thèmes qui lui sont chers sur une partition captivante. » Delphine Peras, Lire.
« Sa force tient autant au suspense de la trame romanesque qu'à son magnifique thème... Un très beau roman qui interroge, secoue, émeut. » Laurence Haloche, Le Figaro Magazine.
« De très justes notations, pleines de sel et d'humour, une fin très tenue, de toute beauté. Très réussie et inattendue... Ses lecteurs vont faire une haie d'honneur à son Privilège des rêveurs. » Patrick Poivre d'Arvor, Nice-Matin.
« Amour, amitié, filiation, solitude nourrissent ce roman riche et charmant. Une invitation à faire la part belle au rêve. » Marie-Valentine Chaudon, La Croix.
« Un grand roman américain à la Douglas Kennedy sur la solitude contemporaine. Une réussite éclatante. » Gilles Pudlowski, Le Point.
« Une immersion à la découverte de la fragilité des êtres. » Manon de Staël, Le Spectacle du monde.
« La plus romancière des romancières françaises, peut-être parce qu'elle est un peu américaine dans sa conception du roman : une grosse machine subtile qui avance vite. Un bulldozer avec un moteur de Mercedes... Cela nous donne des livres palpitants et limpides. » Patrick Besson, Marianne.
« Elle sait décrire ce qu'il y a de plus difficile à faire partager aux lecteurs : la tendresse, ce sentiment persistant bien plus subtil à mettre en mots que l'amour ou l'amitié. » Jérôme Béglé, Paris-Match.
« Difficulté d'aimer la vie telle qu'elle est, inaptitude au bonheur... voilà les thèmes -et quels thèmes- qui inspirent le nouveau Janicot. Touchant. » Isabelle Lortholary, Elle.