Le Boqueteau 125
Le Boqueteau 125, texte de 1925, complète, en l'approfondissant, un chapitre d'Orages d'acier qu'André Gide considérait comme le plus beau livre de guerre qu'il ait jamais lu. Jusqu'en 2000, il n'existait en France qu'une traduction ancienne (1932). La traduction présente, conforme à l'édition définitive voulue par Ernst Jünger, témoigne une fois encore de l'eÎptionnelle capacité de ce grand écrivain à restituer une expérience hallucinée dont l'horreur semblait dépasser les moyens d'expression de la littérature.