Mon livre surprise
Nietzsche contre Wagner
Les chapitres suivants ont tous été choisis, et non sans précaution, de mes écrits précédents — quelques-uns remontent jusqu’en 1877 —, rendus peut-être plus intelligibles par-ci par-là ; ils ont, avant tout, été abrégés. Lus l’un à la suite de l'autre, ils ne laisseront aucun doute, ni sur Richard Wagner, ni sur moi : nous sommes des antipodes. On y verra encore autre chose : on comprendra par exemple que ceci est un essai pour les psychologues, mais nullement pour les Allemands... J’ai mes lecteurs partout, à Vienne, à Saint-Pétersbourg, à Copenhague, à Stockholm, à Paris, à New-York — je ne les ai pas dans le pays-plat de l’Europe, en Allemagne…