Un malin plaisir
Lorsqu'il séjournait dans sa maison de Linards, en Limousin, Antoine Blondin ouvrait parfois un cahier et y laissait couler sa prose en toute liberté. Ce cahier a été retrouvé. Blondin y égrène des aphorismes vachards ou drolatiques, des calembours ou des comptines, des réflexions sur les soubrettes, les féministes, le sport, la littérature, les astronautes, des évocations de Nimier -- bref, des choses vues, imaginées ou déplorées avec autant d'humour que de mélancolie.