Un lion derrière la vitre
De Venise à Istanbul, puis Jérusalem, Alexandrie, Sarajevo et retour vers Cordoue, les textes d’Eric Le Brun surgissent et circulent entre ses propres photographies. Il dessine l’esquisse d’un vaste pays de la mer où affleurent au cours de l’histoire, alternent et se propagent la douceur ou la menace. Dans la garde du livre, les chants anciens et les poèmes d’Anouar Benmalek choisis et interprétés par Emmanuelle Bunel pour « Un lion derrière la vitre », rejoignent et précisent la trame de l’ensemble : Aux confins des légendes et des récits, à l’est comme à l’ouest, les villes survivent aux hommes qui les créent ou les malmènent, comme des flèches lancées dans le passage du temps.
Le livre trace ce parcours de textes en images entre les villes.