Pour en finir avec le sexe
De nos jours, on se doit tous d’être des héros du sexe. Chacun d’entre nous se sent l’obligation d’être un amant vorace au corps ultrasensuel, aux organes génitaux « esthétiques » et devant avoir au moins trente-deux fantasmes (et les réaliser). Dans notre société et même entre amis, on parle de sexe de manière didactique, clinique, thérapeutique, érotique ou pornographique, mais on ose rarement souligner à quel point il y a matière à rire dans tout cela.