Pluie Visage Soleil
Huit courtes pièces de Claude Ponti pour découvrir que dans le fond, à bien y réfléchir, rien n’est vraiment évident. Ni ce qui se voit ni ce qui ne se voit pas. Ni ce qui est petit ni ce qui est grand. Ni la pluie, ni la mer, ni les larmes. Ni le soleil qui pourrait oublier de mettre son réveil et donc ne pas se réveiller. Ni la forêt ni les arbres et encore moins l’arbre qui cache la forêt. Sans parler de l’école, surtout quand les cartables se rebiffent et ne veulent plus y aller à la place des enfants. Entre un autre enfant, qui vient se mettre devant les deux autres.