Pauvres fleurs
Marcelline Desbordes Valmore s'est-elle inspiré de ces vers de Victor Hugo pour écrire Pauvres Fleurs, nul ne le sait, mais peut-être :
La pauvre fleur disait au papillon céleste
— Ne fuis pas !
Vois comme nos destins sont différents. Je reste,
Tu t’en vas !
(Victor Hugo - Les chants du crépuscule - 1835)
Son recueil Pauvres Fleurs, publié pour la première fois en 1839 comprend les poèmes suivants, qui sont aujourd'hui accessibles à tous en version numérique :
La Maison de ma mère - Au médecin de ma mère - Un Nouveau-né - La Fleur d’eau - Croyance Avant toi - Aveu d’une femme - L’Ange gardien - Dormeuse - Ma fille (« C’est beau la vie ») - Un Enfant à son frère - Hyppolite - La Madone des champs - La Femme aimée- Ne fuis pas encore - Je l’ai promis - J’avais froid - À Pauline Duchambge ( « En ce temps-là » ) - La Double Image - Solitude (« Abîme à franchir seule ») - Hiver - Albertine (« Tu sais qu’elle était sainte ») - Rêve d’une femme - Fleur d’enfance - L’enfant grec - À Pauline Duchambge (« Quand tu te ferais sœur grise ») - Amour et charité - Au revoir (« Vous ne me voulez plus ») - Ave Maria - « S’il m’eût aimée » - Affliction - À M. de Peyronnet - Elisa Mercœur - Tristesse de mère - Cantique des mères - Cantique des bannis - Le Luxembourg - Amnistie - Sol natal - Qu’en avez-vous fait ? - L’Aumone au bal - Boieldieu - L’Enfant et le pauvre - Les Roseaux - À madame A. Tastu - Le Livre de ma fille Inès - Le Rêve du mousse - Un Bouquet de femme - Un Billet de femme - Solitude (« Pour me plaindre ou m’aimer ») - Un Pauvre - Milan - L’Augure - Au Christ - La Tombe lointaine - L’Agonie du mineur - Deux Chiens - Noël - Le Parfum d’un album - À mademoiselle A. - À qui me l’a demandé - Elle a voulu mourir - La Mariage d’une jeune reine - Angelus - La Meunière et son seigneur - Le Marinier - Au soleil - L’Âme en peine.