Les fontaines silencieuses
Résumé
« Je préfère à tout le travail - qui m'est sécurité d'esprit, e¬te concordance à ma mesure, justification de mon moi - et, plus encore : plaisir.
Savoir en m'éveillant que je vais m'asseoir à ma table, voilà qui, chaque jour, me procure un contentement que le temps n'épuise pas. Cette hésitation, chaque fois, devant le papier que sa blancheur défend. La page remplie - ou, les mauvais jours, seule une phrase. Le soir, ce cahier refermé jusqu'au lendemain. Cette accumulation de vie au long des journées. Écrire est une grâce.