Les dieux verts
Sur cette terre dangereuse de l'ère Émeraude, l'empire des hommes est déclinant, la partie semble même perdue pour l'humanité devant la terrible emprise des impitoyables dieux verts. Cependant des humains combattront pour sauver leur esprit, leur race, lui rendre sa place au soleil. Ils seront trois à lutter, à espérer, à s'aimer et à se déchirer. Le subtil prince Uxmal, l'éblouissant Suffète des mers, Argo et la petite Reine Atléna « cette âme plus légère que l'air » qui fera peut-être pencher la balance.
À sa mort Charles Henneberg laissait divers manuscrits inachevés. Ils furent complétés par sa femme, qui collaborait déjà avec lui dés le début. On retrouve dans "Les Dieux verts" toutes les qualités de l'œuvre puissante d'Henneberg, la splendeur de l'époque, la peinture d'un monde délirant et baroque, où les hommes combattent les insectes géants, et où la Terre est régie par les plantes intelligentes auxquelles l'homme est soumis. (Jacques Van Herp)