Le dernier adieu
Je pense que je vous ai évité, par une sorte de crainte, de rencontrer mon double. " C'est en ces termes que Freud, en 1922, saluait Arthur Schnitzler (1862-1931) à l'occasion de son soixantième anniversaire. Avec ce volume et celui intitulé l'Etrangère, qui paraît simultanément dans " Domaine étranger ", le lecteur français dispose enfin de l'intégralité des récits et nouvelles du plus considérable des grands Viennois.