Le déclin de l’Occident
Kureishi est au meilleur de sa forme, impitoyable dans ces histoires de pères, de fils et de fanatiques. Le ton est franc, souvent sévèrement autocritique, et pourtant empreint d'un certain espoir. [...] Kureishi n'a jamais eu peur des éléments sordides, ratés et ridicules de l'existence humaine. Mais si ses observations sont sans pitié, elles sont très souvent paradoxalement tendres. [...] Les nouvelles de ce recueil eÎptionnel sont à lire et à relire. » Helen Dunmore, The Times.