Le calepin d'un flâneur

Felix Leclerc

Le calepin d'un flâneur
Popularité
Popularité du livre : faible
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Ce qu'en dit l'éditeur

Félix Leclerc est l'écrivain québécois qui a le plus pratiqué la maxime.

Le calepin d'un flâneur, paru d'abord en 1961, est le premier de quatre recueils qui rendent compte de cette pratique exigeante ; car, pour réussir dans ce genre littéraire, l'auteur doit savoir jouer avec les mots, connaître leur sens précis et aller à l'essentiel, comme dans la chanson ou la nouvelle, trop courtes pour se livrer à des explications ou pour formuler de longs commentaires.

Dans Le calepin d'un flâneur, Félix, tout en faisant parler les mots, non sans poésie, sagesse et psychologie, expose son sens du bonheur, sa foi en l'amour et en la vie, bref sa vision du monde. Pas étonnant que certaines maximes aient donné naissance tantôt à une pièce de théâtre, tantôt à une chanson, deux autres genres aptes à sonder le coeur humain et à susciter la réflexion.

Né à La Tuque, en Haute-Mauricie, en 1914, Félix Leclerc a d'abord été annonceur dans une station radiophonique de Québec, puis de Trois-Rivières, après des études au Juniorat du Sacré-Coeur et à l'Université d'Ottawa. Arrivé à Montréal, en 1939, il interprète sa première chanson sur les ondes de Radio-Canada où il se fait aussi connaître comme comédien. Il obtient un grand succès littéraire avec sa trilogie Adagio, Allegro et Andante, et avec ses pièces de théâtre.

En 1950, il se produit sur la scène de l'ABC de Paris et est rapidement consacré vedette internationale. Lauréat du Grand Prix du disque de l'Académie Charles-Cros, à trois reprises, il obtient plusieurs autres distinctions au cours de sa prestigieuse carrière.

Son prénom est associé à un trophée, le Félix, remis à l'occasion du gala annuel de l'Association de l'industrie du disque du Québec. Il meurt le 8 août 1988, dans l'Île d'Orléans, où il s'était réfugié dans les années 1960.

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