Le Pont flottant des rêves
Le goût pour les « mots étrangers » – de l’anglais au grec ancien en passant par le latin –, Corinne Atlan l’a toujours eu. Mais rien n’avait laissé présager qu’elle s’intéresserait au japonais... Pourquoi choisir cette langue ? Peut-être pour cet éloignement, pour le dépaysement que représentent les idéogrammes et syllabaires japonais – kanji et autres hiragana et katakana.
Parsemant son récit de références fascinantes à la littérature et à la culture japonaises, Corinne Atlan nous permet de côtoyer, par son travail, des auteurs incontournables : Haruki Murakami, Sawako Ariyoshi, Ryû Murakami, Mori Ôgai, Fumiko Hayashi, ou encore Kôtarô Isaka.