Le Magazine Littéraire, n°413 : Zola, l'autre visa
Il est mort, il y a juste cent ans, probablement assassiné, pour avoir défendu la cause de la vérité et de la justice.
Il aimait la République d'un amour critique et sans concession. Elle l'a panthéonisé, et s'en est débarrassée en rebaptisant quelques avenues à son nom.
Il croyait passionnément en l'École, elle l'a statufié comme l'homme d'une seule doctrine, le naturalisme, en évitant de parler de son œuvre.