La couronne de pierres
En 1854 parut un roman qui fit le tour de la Terre : Fabiola, du cardinal Nicholas Wiseman.
Quarante ans plus tard, un autre récit connut le même succès : Quo vadis ?, d'Henryk Sienkiewicz.
Et voici La couronne de pierres, dont l'action se déroule presque à la même époque, et dans des lieux identiques: la Rome des années 250, qui pensait survivre en éliminant par le fer, la croix ou le feu, un christianisme que les pires tortures s'efforçaient vainement d'anéantir.
Pleine d'aventure et de suspense, cette histoire fait renaître dans un cadre grandiose, des garçons animés d'une foi si intense qu'elle conduit celui auquel il est adressé à répondre au pathétique appel de Dieu.
De Tarcisius, on ne connaît vraiment que sa mort. C'est pourquoi Serge Dalens a voulu lui donner un visage, une famille, des amis. En même temps, il a recréé avec une rare fidélité le climat de la Rome impériale, exposé avec une impartialité exemplaire les griefs faits aux Chrétiens. Le portrait de Gallien, fils de l'Empereur Valérien, allie la vérité historique à la plus chaleureuse humanité.
Jusqu'à ce jour, Dalens n'avait guère écrit que pour des adolescents. Mais La couronne de pierres s'adresse à un public plus vaste : car l'amour et le courage, lorsqu'ils sont dons de Dieu, ne connaissent point d'âge ni de limites.