L'autofictif au petit pois : journal 2013-2014
Mon écriture privilégie ces deux motifs : l’aphorisme et la digression. Et cependant, j’échoue misérablement chaque fois que j’essaie de placer – ce serait mon grand œuvre – une digression dans un aphorisme. »
Et si le grand œuvre d’Éric Chevillard était cet Autofictif, entreprise littéraire unique en son genre, dont voici la septième année ?
On y découvre une fois encore que, si écrire n’est pas tous les jours un conte de fée, le lire en revanche est merveilleux.