À volonté : Tu t'es vue quand tu manges ?
Avortez.", "Il va falloir faire un autre sport, votre fille n'est pas assez gracieuse pour la danse.", "On ne va pas avoir votre taille en rayon.", "T'as de la chance d'être grosse, au moins t'existes."...
Les journées de Mathou et Mademoiselle Caroline sont remplies de ces petites phrases, parfois anodines mais toujours assassines à propos de leur poids. Si l'une essaie désormais de s'accepter, l'autre fera toujours en sorte d'essayer de mincir mais ensemble, les deux autrices nous livrent leurs expériences et nous font prendre conscience que la grossophobie est un mal sociétal.