Assis sur le toit de sa maison, Monsieur Walter attend la décrue. Il attend, et attend. Des jours entiers. Une maison qui navigue dans cet océan heurte doucement celle de Monsieur Walter. Et puis une autre, et une autre. Et il vient à Monsieur Walter une idée : s’il accrochait son toit à celui de sa voisine ?

Pour ce conte, petit bijou de douceur et de lenteur, Chocolat a offert un très beau format à Clément Lefèvre. Avec une maîtrise graphique toujours inoxydable, il y plante le décor de cette immense étendue d’eau, dans laquelle baigne la mauvaise fortune de Monsieur Walter et son étonnant projet de cité lacustre…