L'été 1914 (fin). Epilogue
Un espion... Un alboche...» Les mots courent de bouche en bouche. Autour de Jacques, le cercle se resserre, hostile, menaçant. Il est seul, ligoté, sans défense. Il détourne les yeux. Une brûlure à la joue le fait tressaillir. On ricane. Il aperçoit, au-dessus de lui, le buste d'un apprenti, en cotte bleue. L'enfant rit méchamment ; il tient encore entre les doigts un mégot incandescent. « Laisse-le tranquille ! » gronde le brigadier. « Pisque c'est un espion» réplique le gamin.
Pourquoi je vais aimer ce livre ?
Cher futur lecteur,
Si vous avez déjà plongé dans les pages des Thibault et que vous avez suivi les aventures de cette famille à travers les années, alors je suis sûr que vous avez hâte de découvrir la conclusion de cette saga captivante. Dans le tome 5, "L'été 1914 (fin). Epilogue", Roger Martin du Gard aborde avec brio un sujet complexe et déchirant : la Première Guerre mondiale et ses conséquences sur les personnages et sur la société française.
Comme toujours, l'auteur démontre une maîtrise incroyable de la langue française et de la structure narrative, en utilisant des métaphores puissantes et en captant les sentiments et les émotions de ses personnages avec une grande finesse. Les dialogues sont percutants et les descriptions sont vivantes, presque palpable.
Au cours de cet épilogue, nous voyons les personnages évoluer et affronter les conséquences de la guerre, et nous assistons à des moments d'intensité dramatique, à des moments de réflexion profonde et à des moments de tendresse et de vulnérabilité. Martin du Gard excelle à capturer la complexité des relations humaines et à montrer comment les événements historiques peuvent avoir un impact profond sur les vies individuelles.
En lisant "L'été 1914 (fin). Epilogue", vous serez transporté dans une époque lointaine et pourtant si proche, et vous découvrirez comment les personnages des Thibault ont fait face à l'un des moments les plus sombres de l'histoire de l'humanité. C'est un livre qui vous touchera profondément, qui vous fera réfléchir et qui vous laissera une impression durable.
Je suis convaincu que vous apprécierez ce dernier opus de la saga des Thibault, et je suis sûr que vous serez touché par la maîtrise littéraire de Roger Martin du Gard et par la profondeur de ses réflexions sur la vie, la mort et les relations humaines.
Avec tout mon respect et toute mon admiration pour votre amour de la littérature,
Un admirateur
Comment ce livre va me faire réfléchir ?
Cher futur lecteur,
Plongez-vous dans les pages captivantes de "Les Thibault, tome 5. L'été 1914 (fin). Epilogue" de Roger Martin du Gard, et découvrez un monde empreint de problématiques sociétales, de questions sur les relations humaines et la nature profonde de l'homme. À travers ces lignes, vous dévoilant les secrets du monde, de la vie et de l'être humain, vous vous retrouverez confronté à une réflexion profonde sur notre société actuelle.
Quelle est la véritable valeur de la loyauté et de la fraternité dans un monde en proie aux conflits et à la guerre ? À l'heure où les liens humains se fragilisent, les Thibault nous rappellent l'importance fondamentale de ces valeurs, offrant ainsi un écho troublant à notre époque marquée par l'individualisme.
Quels sont les secrets enfouis au plus profond de l'âme humaine lorsque l'amour et la passion se mêlent au destin ? À travers les tourments des personnages, vous découvrirez des vérités troublantes sur les désirs, les compromis et les sacrifices que l'on est prêt à faire pour vivre pleinement ses émotions.
Comment la société façonne-t-elle les individus et comment ces derniers cherchent-ils à se libérer de ses contraintes ? Plongez dans l'exploration des méandres sociaux, où la lutte des classes et les barrières sociales se dressent en toile de fond, éveillant ainsi une réflexion sur notre propre époque et ses inégalités persistantes.
Quelles sont les conséquences dévastatrices de l'ignorance et de l'aveuglement face aux bouleversements du monde ? Les Thibault nous rappellent l'importance de l'éveil des consciences, dans un contexte où les enjeux politiques et sociaux menacent notre avenir collectif.
Comment l'histoire individuelle se confond-elle avec l'Histoire collective ? À travers les destinées des personnages, vous saisirez les liens subtils entre les choix personnels et les événements historiques, révélant ainsi la puissance des circonstances sur nos vies.
En vous plongeant dans cet ouvrage, vous découvrirez que chaque réponse à ces questions cruciales nous aide à mieux comprendre notre monde contemporain et à nous interroger sur notre place en tant qu'individus. Laissez-vous emporter par la prose envoûtante de Roger Martin du Gard, et percevez à quel point cette lecture résonne avec notre époque, éclairant nos préoccupations les plus profondes.
Livres de l'auteur : Roger Martin Du Gard
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Tous les hommes sont mortels Littérature française (1974) 520 pages |
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Un prêtre marié Littérature française (1993) 473 pages |
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Léviathan Littérature française (2005) 352 pages |
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Les Vestiges du jour Romans et nouvelles anglais (2002) 266 pages |
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Climats Littérature française (1955) 254 pages |
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Madame Zola Littérature française (1997) 376 pages |
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Adrienne Mesurat Littérature française (1974) 384 pages |
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Le Carnet d'or Littérature anglaise (1980) 960 pages |
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La Cousine Bette Littérature française du XIXe siècle (1975) 540 pages |
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Les Mandarins - T1 Les mandarins Littérature française (1972) 506 pages |
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Une mort très douce Littérature française (1972) 151 pages |
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L'invitée Littérature française (1972) 502 pages |
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Belle de Jour (2018) |
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Mémoires d'outre-tombe - Livre de ... - T4 Livres XXXIV à XLII Littérature francophone (2002) 822 pages |
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Mon frère Yves Littérature française (1998) 367 pages |
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La force des choses - T1 La force des choses Littérature anglaise (1976) 384 pages |
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La fin des hommes - T1 Les grandes familles Romans historiques (1999) 900 pages |
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Une Histoire sans nom Littérature française (1990) 192 pages |
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L'Amérique au jour le jour : 1947 Littérature française (1997) 535 pages |
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PAVILLON DES CANCEREUX Autres littératures étrangères (2005) 721 pages |
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Le monde réel - T2 Les Beaux Quartiers Littérature française (1972) 624 pages |
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L'Égyptienne Littérature française du XXe siècle (1991) 681 pages |
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Le diable au corps Le bal du comte d'Orgel (La bibliothèque des chefs 268 pages |
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Retour à Brideshead - NE - Pavillons poche (2005) 616 pages |
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Un bonheur parfait Littérature anglaise (2008) 408 pages |
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Tout compte fait Littérature française (1978) 631 pages |
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Le Sang des autres Langues étrangères (1973) 310 pages |
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«Je vous écris d'Italie...» Romans et littérature (1986) 416 pages |
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Journal 1944 - 1947 Littérature américaine |
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Les Buddenbrook : Le déclin d'une famille Littérature allemande (1993) 852 pages |
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La Lumière des justes Littérature française (2000) 1177 pages |
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La Mère Littérature russe (2001) 140 pages |
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Le Conformiste Littérature italienne (1985) 347 pages |
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Les Mandarins Littérature française du XXe siècle (1954) 579 pages |
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Sarah et le lieutenant français Romance et littérature sentimentale (1995) 671 pages |
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Les Hommes de bonne Volonté - Intégr... - T3 Jules Romains : Les hommes de bonne volonté Littérature française (1988) 1202 pages |
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CYGNES SAUVAGES Histoire et Actualité des Pays (2001) 635 pages |
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Le Sang noir Littérature française (1980) 627 pages |
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Mémoires d'outre-tombe : extraits Littérature française (1999) 512 pages |
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La Puissance et la Gloire Littérature anglaise (1971) 319 pages |
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La Ville dont le prince est un enfant Littérature française (1973) 302 pages |
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La Vie ardente de Michel-Ange Romance et littérature sentimentale (1983) 474 pages |
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Yerma Pièces de théâtre (2007) 92 pages |
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La Maison de la mort certaine Littérature française (1999) 143 pages |
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Foundling Boy - T1 Le jeune homme vert Littérature française (1996) 544 pages |
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Minuit Littérature française (1996) 276 pages |
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Portrait de groupe avec dame Littérature allemande (1995) 520 pages |
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Mon village à l'heure allemande Littérature française (2009) 352 pages |
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Les Etoiles du Sud Littérature française (2002) 871 pages |
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Roi, Dame, Valet Romans et littérature (1971) 384 pages |