Bleu blanc vert
1962. Indépendance de l'Algérie. Lilas et Ali entrent au collège où ils apprennent avec stupeur qu'il est désormais interdit d'utiliser le crayon rouge. En effet : puisque le papier reste blanc et l'encre bleue, les corrections se feront donc en vert. Il n'est pas question de maintenir le «bleu blanc rouge», drapeau honni de la colonisation !
Dans l'euphorie de la liberté retrouvée, l'avenir est à portée de mains, plein de promesses et d'espoirs. 1992. Le Fis gagne les élections dans une Algérie plongée dans «l'ombre de la grande désillusion», écrit Maïssa Bey. «La peur. L'humiliation. Ces mots viennent de s'introduire une fois de plus dans nos vies. Jusqu'à l'intérieur de nos maisons.
La peur est là. La peur qui met des couleurs d'orage et des traînées de brume dans les yeux d'une petite fille qui ne comprend pas pourquoi les adultes ne parlent pas le même langage. Pourquoi ce qui est permis par les uns est interdit par les autres.» À travers le récit alterné de ses deux héros, Maïssa Bey remonte ici l'Histoire, avec ses découvertes et ses héritages - et la terrible mission d'être la première génération libérée du joug colonial. Comment faire coexister modernité et traditions ? Tel est le nouveau défi que s'est donné Maïssa Bey, cette superbe romancière qui, livre après livre, (re)construit son pays, celui hérité de ses parents, celui qu'elle transmettra à ses enfants.
Maïssa Bey vit à Sidi Bel Abbes (Algérie), où elle se consacre à l'écriture. Elle a publié, à l'Aube, Cette fille-là (2001), Entendez-vous dans les montagnes... (2002), Au commencement était la mer (2003), Sous le jasmin la nuit (2004), Surtout ne te retourne pas (2005).
Pourquoi je vais aimer ce livre ?
Cher futur lecteur,
Permettez-moi de vous dire pourquoi je suis convaincu que vous apprécierez le livre "Bleu blanc vert" de Maïssa Bey. Tout d'abord, je voudrais vous inviter à vous plonger dans l'univers poétique et sensuel de Maïssa Bey, qui vous transportera dans un monde de mots et de sentiments, où chaque phrase est une invitation à la réflexion et à l'émotion.
"Bleu blanc vert" est un livre qui parle de l'identité, de la mémoire et de l'appartenance. C'est un livre qui célèbre la diversité et qui résonne avec l'actualité de notre monde en constante évolution. C'est un livre qui parle de la vie, de l'amour, de la perte et de la reconnaissance.
Maïssa Bey écrit avec une voix unique et puissante, qui vous emportera dans un voyage intérieur, où vous découvrirez vos propres souvenirs, vos propres peurs et vos propres espoirs. Ses mots sont simples et sincères, et pourtant, ils ont une profondeur qui touchera votre cœur et votre âme.
Le livre est construit autour d'une série de portraits, chacun décrivant une personne différente, avec ses propres histoires, ses propres douleurs et ses propres joies. Chacun de ces portraits est un témoignage poignant de la vie, de la diversité et de la complexité de l'existence humaine.
"Bleu blanc vert" est un livre qui vous fera réfléchir sur vous-même et sur le monde qui vous entoure. C'est un livre qui vous fera sentir vivant, qui vous fera pleurer et qui vous fera rire. C'est un livre qui vous touchera profondément, qui vous marquera à jamais et qui vous restera gravé dans la mémoire.
Je suis convaincu que vous apprécierez ce livre, cher futur lecteur, car il est un chef-d'œuvre de la littérature, un témoignage émouvant de la vie et de l'humanité, et un hommage à la diversité et à la liberté de l'esprit. Je vous invite à le lire, à vous laisser transporter par les mots de Maïssa Bey et à découvrir pour vous-même pourquoi "Bleu blanc vert" est un livre que vous n'oublierez jamais.
Cordialement,
Un admirateur
Comment ce livre va me faire réfléchir ?
Plongez-vous dans les pages envoûtantes de "Bleu blanc vert" de Maïssa Bey, un livre qui explore avec finesse et profondeur les complexités de notre société contemporaine et de l'âme humaine. À travers les émotions tourbillonnantes de ses personnages, ce roman magistral révèle des secrets enfouis, des vérités universelles, et offre des réponses à des questions essentielles qui nous touchent tous.
Quelle est l'empreinte du passé sur notre présent ? Comment les histoires familiales se transmettent-elles de génération en génération, et comment cela façonne-t-il notre identité individuelle et collective ?
Comment les liens entre les êtres humains peuvent-ils être à la fois libérateurs et étouffants ? Comment naviguer entre les aspirations personnelles et les attentes sociales qui pèsent sur nous ?
Quels secrets le silence peut-il protéger, et quelles vérités courageuses émergent lorsque les mots sont enfin prononcés ?
Comment les blessures intimes influencent-elles notre perception du monde extérieur et notre capacité à aimer et à être aimé ?
Face aux défis contemporains, comment trouver l'espoir et la résilience dans la beauté des choses simples, dans la nature qui nous entoure ?
En suivant les parcours de personnages captivants, "Bleu blanc vert" nous pousse à réfléchir sur notre propre existence et sur les méandres de l'âme humaine. Chaque page révèle une part de vérité sur notre société, nous confronte à nos propres questionnements et nous invite à mieux comprendre notre monde complexe. À travers l'écriture magistrale de Maïssa Bey, ce livre nous offre une plongée profonde dans l'essence de l'humanité, nous guidant vers une meilleure compréhension de nous-mêmes et des autres.
Livres de l'auteur : Maïssa Bey
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Sanctuaire du coeur Autres littératures étrangères (2011) 749 pages |
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Puisque rien ne dure (La Bleue) Littérature francophone (2006) 127 pages |
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Terre des oublis Autres littératures étrangères (2007) 704 pages |
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La joueuse d'échecs Romans historiques (2005) 151 pages |
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Pietra viva Romans et littérature (2013) 228 pages |
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Les vies extraordinaires d'Eugène Critiques, essais et analyses de littérature (2010) 232 pages |
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Ce que je sais Littérature belge francophone (2009) 300 pages |
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En vieillissant les hommes pleurent Littérature francophone (2012) 246 pages |
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Eux sur la photo Littérature belge francophone (2011) 286 pages |
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Seule Venise Littérature française (2005) 302 pages |
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Les heures souterraines Critiques, essais et analyses de littérature (2009) 192 pages |
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Chocolat amer Autres littératures étrangères (2009) 256 pages |
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En attendant Robert Capa Littérature espagnole (2011) 253 pages |
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Une pièce montée Littérature française (2007) 256 pages |
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La nuit tombée Littérature française (2012) 128 pages |
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Veuf Littérature française (2011) 160 pages |
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Le cœur régulier Littérature française (2010) 204 pages |
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A l'abri de rien Littérature française (2007) 228 pages |
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Fugue (2010) 326 pages |
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Bérénice 34-44 Littérature française (2014) 360 pages |
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Rien ne s'oppose à la nuit Littérature française (2011) 440 pages |
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La Jeune Fille à la perle Romans historiques (2000) 313 pages |
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La Coquetière Romans et littérature (1998) 224 pages |
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Laver les ombres Littérature française (2008) 158 pages |
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Les arbres voyagent la nuit Littérature française (2013) 304 pages |
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Le bal: Littérature anglaise (2002) 144 pages |
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Rêves oubliés (2012) 169 pages |
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La Mer, le matin Littérature italienne (2012) 144 pages |
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L'amour est une île Littérature française (2010) 350 pages |
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D'où je suis je vois la lune Littérature française (2010) 304 pages |
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Une comédie familiale Littérature française (2005) 448 pages |
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Théâtre intime Littérature française (2003) 227 pages |
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Horowitz et mon père Littérature française (2007) 160 pages |
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La Ballade de Lila K Littérature française (2010) 400 pages |
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Charlotte |
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84, charing cross road Correspondances et mémoires littéraires (2013) 160 pages |
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D'après une histoire vraie Littérature française (2015) 484 pages |
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Les déferlantes (La brune) Romans et littérature (2008) |
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Le Vestibule des causes perdues Littérature française (2014) 480 pages |
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Je vous écris dans le noir Littérature française (2015) 233 pages |
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La femme de l'Allemand Littérature allemande (2008) 248 pages |
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Les heures silencieuses Littérature française (2011) 134 pages |
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Terre et cendres Autres littératures étrangères (2010) 96 pages |
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Les Demeurées Littérature française (2002) 80 pages |
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La petite cloche au son grêle (2013) 168 pages |
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Ces extravagantes soeurs Mitford Romans et littérature (2003) 480 pages |
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Le premier été (La brune) Romans et littérature (2011) |
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L'homme qui m'aimait tout bas Littérature française (2010) 176 pages |
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Une poignée de gens Littérature française (2000) 240 pages |
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Petites scènes capitales Romans et littérature (2013) |