Révéler mes prochains livres

Mon assistant virtuel

En utilisant mon assistant virtuel il saura me révéler un livre suivant mon humeur du moment :

Recommandations à partir d'un livre adoré

Pour avoir des révélations de livres :

Le révélateur avancé de livres

Pour utiliser le révélateur de livres étendu :

Attention Je m'inscris gratuitement pour obtenir des révélations personnalisées (Inscription)

Livre du jour


 mercredi 25 septembre 2024 

Morgane Moncomble

Viens, on s'aime
360 pages
Popularité
Popularité du livre : élevée
Notes
Note globale
★★★★★
★★★★★
4.32
Note personnelle
★★★★★
★★★★★
0

Beaucoup s’accordent à dire que l’amitié fille-garçon n’existe pas. Et pour cause ! Lorsque Loan et Violette se sont rencontrés, ce fut un véritable coup de foudre platonique. À cette époque, Loan était en couple avec Lucie depuis quatre ans, si bien qu’il n’avait d’yeux que pour elle.

Mais seulement un an plus tard, beaucoup de choses ont changé : Loan est un homme abattu depuis que sa petite-amie l’a quitté. Quant à Violette, elle commence tout juste une idylle avec le beau Clément – chose que Loan se surprend à détester.

Alors quand sa meilleure amie, encore vierge, le supplie d’être son premier, il hésite. La proposition de Violette sent la mauvaise idée à plein nez… mais après tout, il ne s’agit que d’une fois. Rien qu’une.

Livre surprise

Philippe Claudel

Les Âmes grises
Littérature française (2006)
286 pages
Popularité
Popularité du livre : élevée
Notes
Note globale
★★★★★
★★★★★
3.88
Note personnelle
★★★★★
★★★★★
0

« Elle ressemblait ainsi à une très jeune princesse de conte, aux lèvres bleuies et aux paupières blanches. Ses cheveux se mêlaient aux herbes roussies par les matins de gel et ses petites mains s’étaient fermées sur du vide. Il faisait si froid ce jour-là que les moustaches de tous se couvraient de neige à mesure qu’ils soufflaient l’air comme des taureaux. On battait la semelle pour faire revenir le sang dans les pieds. Dans le ciel, des oies balourdes traçaient des cercles. Elles semblaient avoir perdu leur route. Le soleil se tassait dans son manteau de brouillard qui peinait à s’effilocher. On n’entendait rien. Même les canons semblaient avoir gelé.

« C’est peut-être enfin la paix… hasarda Grosspeil.

– La paix mon os !» lui lança son collègue qui rabattit la laine trempée sur le corps de la fillette. »