Révéler mes prochains livres
En utilisant mon assistant virtuel il saura me révéler un livre suivant mon humeur du moment :
Pour avoir des révélations de livres :
Pour utiliser le révélateur de livres étendu :
Je m'inscris gratuitement pour obtenir des révélations personnalisées (Inscription) |
Livre du jour
"En descendant de l'avion à Lagos, j'ai eu l'impression d'avoir cessé d'être noire." Ifemelu quitte le Nigeria pour aller faire ses études à Philadelphie. Jeune et inexpérimentée, elle laisse derrière elle son grand amour, Obinze, éternel admirateur de l'Amérique qui compte bien la rejoindre. Mais comment rester soi lorsqu'on change de continent, lorsque soudainement la couleur de votre peau prend un sens et une importance que vous ne lui aviez jamais donnés ? Pendant quinze ans, Ifemelu tentera de trouver sa place aux États-Unis, un pays profondément marqué par le racisme et la discrimination. De défaites en réussites, elle trace son chemin, pour finir par revenir sur ses pas, jusque chez elle, au Nigeria. À la fois drôle et grave, doux mélange de lumière et d'ombre, Americanah est une magnifique histoire d'amour, de soi d'abord mais également des autres, ou d'un autre. De son ton irrévérencieux, Chimamanda Ngozi Adichie fait valser le politiquement correct et les clichés sur la race ou le statut d'immigrant, et parcourt trois continents d'un pas vif et puissant.
Livre surprise
Coraline vient d'emménager dans une étrange maison et, comme ses parents n'ont pas le temps de s'occuper d'elle, elle décide de jouer les exploratrices. Ouvrant une porte condamnée, elle pénètre dans un appartement identique au sien. Identique, et pourtant...
Dans la droite ligne d'Alice au pays des merveilles, ce roman magnifique séduira tous les publics.
« Ce livre va vous donner froid dans le dos... On y retrouve un élément d'horreur raffinée digne des meilleurs contes de fées, et c'est un petit chef-d'oeuvre. »Terry Pratchett
« Mesdames et messieurs, jeunes gens et jeunes filles, levez-vous et applaudissez : Coraline est un roman génial. » Philip Pullman, The Guardian